NOTRE VISION

LETTRE OUVERTE A LA PRESSE INDEPENDANTE

Absents du champ médiatique grand public, avons-nous tout essayé pour y remédier ? Nous proposons un début de solution, en serez-vous ?

Le bras armé des gens qui mènent le monde est d’abord l’information qu’ils orientent au grès de leurs intérêts pour légitimer l’oligarchie. Pour faire court. Problème crucial, à la racine de beaucoup d’autres. Pire peut-être, forts de cette mainmise sur les grands médias populaires qui, très facile d’accès, fidélisent majoritairement l’opinion, ils continuent d’encourager la surconsommation alors qu’elle menace la vie sur notre planète.

Les médias indépendants et éthiques qui font face, certains de bonne taille, pèsent peu dans l’opinion ne touchant pas ou peu le grand public. La réalité catastrophique dont nous héritons aurait-elle à voir avec des décennies de cette carence ?

Nous sommes tous concernés et victimes de cet état de fait et l’on peut imaginer qu’une coopération intelligente et fructueuse s’installe pour, à terme, en finir avec cette domination antidémocratique et pire, antiécologique.

C’est d’un puissant contre-pouvoir dont nous avons besoin, sous la forme de moyens simples et peu coûteux de médiatisation massive.

Notre propre expérience (création de l’âge de faire) nous a amené à la double conviction : 1) que le média papier était le mieux adapté à ce contexte ; 2) qu’un accompagnement citoyen modeste mais nombreux était indispensable pour assurer une visibilité accrue nécessaire à la rencontre du nouveau média avec son lectorat. Ces nombreuses petites mains locales donneront forme au niveau national à un grand collectif citoyen et fraternel pour la médiatisation massive des transitions.

L’objectif est de 20 000 personnes à terme, 3000 pour commencer, (nous sommes environ 700). Il n’est réalisable dans un délai court que porté par un groupe de médias indépendants et/ou de structures militantes amies, dans un défi gagnant-gagnant.  

La proposition est un partage des espaces de publication du futur magazine papier qui permettra à chacun de se faire connaître d’un lectorat difficile d’accès qui lui-même bénéficiera d’un éventail d’articles de magazines alternatifs rassemblés.

La contrepartie étant une participation active au recrutement du réseau de diffusion.

L’ensemble pourrait être géré dans un cadre coopératif. Tout est à débattre dans le cadre d’une structure qui pourrait être cogérée par les partenaires qui participeront au succès de l’opération

Ce n’est qu’une première piste, d’autres applications, y compris numériques, sont à imaginer jusqu’à constituer un pôle bien visible de médias libres.

La montée en régime du réseau de diffusion sera progressive en démontrant son efficacité dans une première application concrète (voir lien ci-dessous).

L’utopie n’est pas l’irréalisable mais l’irréalisé disait Théodore Monod. Alors allons-y pour l’utopie !

https://www.demain-en-mains.info/fr/jeparticipe